Ils n’ont l’air de rien ce sarments, mais rien qu’en Gironde, on en accumule 350 000 tonnes au moment de la taille. On les brûle depuis des décennies. L’impact carbone n’est pas négligeable et la perte d’humus importante. Une valorisation de cette richesse organique est nécessaire. Broyage, compostage, recyclage ? La Chambre d’Agriculture girondine fait le point.
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