By LINCOLN SILIAKUS
DIRK VERMEERSCH used to drive racing cars professionally, screeching around corners and burning rubber.
In many ways he still does.
I caught up with Dirk and his wife Ann at Millésime Bio salon in Montpellier. They now run a winery called LE PLAN at Suze-la-Rousse north of Avignon. The chequered flag on his stand and bottle labels must have caught my eye. On his label it claims that his wines are “Powered by Nature – Handmade in France”. (suite…)
La Revue des Vins de France dans son n° 538 « Spécial Rouges de Loire » (p. 56 ci-dessous) a décerné un ‘Coup de cœur’ à nos amis Pascale et Etienne de Bonnaventure pour leur chinon du château de Coulaine.
La patience et la détermination de Pascale et Etienne de Bonnaventure payent enfin, après vingt années de travail âpre et régulier sur leurs vignes de Coulaine dans le Véron, près de la Vienne avant qu’elle ne se jette dans la Loire, sur des vignes cultivées en bio depuis 1997.
Leur chinon se caractérise par une douceur aimable qu’on ne rencontre guère chez les autres grands du coin (à suivre…).
LUIS VICENTE ELIAS PASTOR
L’Uruguay, entre Brésil et Argentine, le plus petit pays d’Amérique Latine (trois millions d’habitants), est aussi le plus européen. La vigne y jouit d’un climat océanique tempéré et humide, proche des conditions européennes. Elle s’étend sur 10 000 ha (10% du bordelais) produisant 1 million d’hectolitres.*
Nous nous y sommes rendus pour les besoins d’un guide œnotouristisque (« Guía de Turismo del Vino de América », à paraître), en coopération avec l’association Los Caminos del Vino (“Les Chemins du vin”). Invitation à découvrir l’Uruguay à travers son vignoble, ses vins et ses paysages fabuleux.
La vingtaine de chais et domaines des Caminos del Vino possède leur structure d’accueil, prête à recevoir votre visite — promenades dans les vignobles; dégustation de vins et gastronomie, d’origine surtout italienne, viandes rôties notamment (asados); et hébergement.
La beauté des paysages du vignoble uruguayen — immenses étendues entourées de prairies et d’élevages —, s’accompagne de l’hospitalité d’une population rurale très accueillante. Le cépage local est en majorité le TANNAT**
DANIEL J. BERGER
Jacques Vivet a été l’un des premiers à Paris à enseigner la dégustation du vin.
Inspirant des concurrents nombreux tentant de surfer sur la mode du vin et qui pour beaucoup disparaissent, son école poursuit sa mission avec conviction, régularité et résultats.
Discret, passionné, sympathique, attaché au Val de Loire, l’homme poursuit sa quête sans fin à travers les vignobles de France et de par le monde. Il répond à trois questions posées à l’issue du cours qu’une douzaine d’entre nous avons suivi sous son magistère en mai juin-juin 2009 (*).
Question 1 — Qu’est-ce qui vous a amené à choisir l’initiation au vin pour métier ?
Jacques Vivet — Le vin me passionne depuis que j’ai 18 ans, l’âge de mes premiers coups de foudre dans la cave familiale et dans celles des amis. Mais franchement en faire mon métier me paraissait inimaginable parce que pas suffisamment sérieux, et de plus cela comportait un risque : celui qu’en devenant une profession, la passion et le plaisir disparaissent. Pour rassurer mes parents, j’ai poursuivi Sciences Eco, tout en suivant en parallèle des études d’œnologie à Dijon, où j’entretenais des contacts avec le professeur Bergeret, alors directeur des études. Je passais mes vacances d’étudiant à déguster, en changeant de région à chaque récolte en découvrant toutes les richesses aromatiques sur le terrain chez les viticulteurs, chez des négociants : dégustation, dégustation et encore dégustation, de 10h du matin à 10h du soir. Lors de mes stages de fin de sciences éco dans la banque et l’assurance, je me suis dit : « la vie de bureau c’est pas ton truc, la hiérarchie non plus », en suivant la voie du bon docteur Rabelais « fais ce que voudras » et… j’ai opté pour ma passion. (suite…)
COMMUNIQUÉ
Le 24ème salon des vins de Loire qui se tiendra du 1er au 3 février prochain au parc des expositions d’Angers (600 exposants, 9 000+ visiteurs), a commandé à Opinion Way une étude sur la baisse de TVA dans la restauration*. L’étude évalue la position des vins de Loire, 3ème région française de production d’AOC, face à la demande de la clientèle.
L’ensemble des résultats sera présenté et commenté au salon le 2.02 (salle Maine).
Il ressort que les vins de la Loire (du gros plant nantais aux côtes d’Auvergne) arrivent n°1 en France à la fois en rapport Q/P; sur une cible « jeune »; et pour l’accompagnement des plats. Voyons ça.