SOIGNEZ-VOUS PAR LE VIN
Interview de Stéphane Collaro (Le Petit Rapporteur) il y a quarante ans.
Interview de Stéphane Collaro (Le Petit Rapporteur) il y a quarante ans.
SUBHASH ARORA – DELWINE – JAN 27 2017
Although most studies have shown that pregnant women can have 1-4 glasses of wine a week and in Italy the practice is followed religiously with no significant defects in the new-borns, the latest law forcing the producers to double the size of the pictograph warning on the back label of the bottle has caused a lot of resentment among producers who feel this is a half-baked measure and the government should focus on educating women about the importance of moderation drinking
Producers are required since 2007 to print a health warning for pregnant women on the back of wine bottles as a written warning or a logo showing the silhouette of a pregnant woman drinking from a glass inside a no drinking red symbol. Measures were announced last month to increase the size of this pictograph to at least 1 cm. from the existing half a centimetre.
According to a report published by the inter-ministerial committee, alcohol consumption in France during pregnancy is the leading cause of non-genetic mental disabilities in children, with 0.1% of the infants born having foetal alcohol syndrome. The committee felt that the warning is drowned out by other required information on labels. The Ministry of Health hopes to enforce the new size requirements within 2017.
Le vin sans soufre on en parle, on en parle, et puis un jour arrive où c’est devenu une réalité : le laboratoire Oenoteam vient d’embouteiller son premier vin sans soufre au Château Grand-Launay en côtes de Bourg, dont le directeur veut inscrire « vin sans sulfites » sur son étiquette.
Pierre-Henri Cosyns (2ème gauche), gérant du château Grand-Launay en côtes de Bourg, déjà connu pour son bio (sans pesticides, insecticides ou autres intrants chimiques), est de ces vignerons qui vont faire école. Adepte de la bioprotection prônée par le laboratoire Œnoteam de Libourne, il a fait embou- teiller 24 000 bouteilles de son 2014 sans ajouter de sulfites — qui empêchent le jus de raisin de tourner au vinaigre. Depuis toujours utilisé pour ses propriétés antiseptiques et antioxy- dantes qui, de la vendange à la mise en bouteille, protègent le raisin, le moût puis le vin des bactéries et de l’oxygène, le soufre est aujourd’hui montré du doigt comme substance allergène. (suite…)
L’organisme est bien menacé par les virus en cette période, et le système immunitaire peut profiter du coup de fouet des épices qui se trouvent dans le vin chaud.
Rappel de la recette et des conseils de Jean-Marc Dupuis (Santé Nature Innovation).
Prendre une bouteille de gamay ou de pinot noir (d’Alsace de préférence) et la verser dans une casserole à feu moyen. Ajouter un zeste de citron et une demi-orange non traités, un bâton de cannelle de Ceylan (de couleur claire), 5 cl de crème de cassis, 40 g de cassonade brune, 30 g de miel. Laissez chauffer 4 ‘ sans faire bouillir puis ajouter 2 étoiles de badiane (anis étoilé), 2 clous de girofle, 1 pincée de muscade,
2 capsules de cardamone et 4 grains de poivre noir. Laisser chauffer encore 10 ‘ sans bouillir, couper le feu et laisser infuser 2 h. Filtrer dans une passoire. Réchauffer et boire très chaud.
En hiver, l’organisme a besoin d’une alimentation plus riche, plus grasse. Quelques épices pour l’aider à l’assimiler :
COMMUNIQUÉ IPSN*
Avant hier 7 avril, à 13h30, le tribunal correctionnel de Dijon s’est prononcé dans l’affaire Emmanuel Giboulot : il a été déclaré coupable et condamné à verser une amende de 1 000 €, dont 500 avec sursis. Voilà Emmanuel jugé comme un délinquant pour avoir voulu préserver la santé des consommateurs. On marche sur la tête ! Naturellement, il fait appel de cette décision invraisemblable
le principe de précaution est inscrit dans la Constitution, la magistrate aurait donc pu et dû le relaxer. Et ce d’autant plus que l’urgence de la situation n’était pas caractérisée puisque l’épidémie de flavescence dorée était contenue en Saône-et-Loire.
En fait, la position du tribunal – qui protège le préfet – montre surtout l’immense décalage qui existe entre les autorités et le grand public. Alors qu’en quelques jours la pétition lancée par l’IPSN, que vous pouvez encore signer ici, a rassemblé plus d’un demi-million de signatures et que les médias se sont emparés de l’affaire, les institutions locales restent frileuses. (suite…)